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L’Enfer c’est les Autres Marketing de Réseau

16 octobre, 2013 (17:09) | Abondance :-) | By: lespacearcenciel

L’Enfer c’est les Autres en Marketing de Réseau ?

–> Version du : Jeudi 17 Octobre 2013 <–

L-enfer-c-est-les-autres-Sartre

Cet article est la Résultante à une réflexion longuement menée ces quelques derniers mois au sujet du Marketing de Réseau. Le texte précédent (Plus celui-ci…) en sont la cause directe par évidence. Les Paroles de Jean-Paul Sartre «Expriment selon moi, d’une façon admirable», ce que toute personne, impliquée de près ou de loin dans le Marketing de Réseau peut ressentir de ses concitoyens mais également vis-à-vis de soi-même (Forme de dépression ou écÅ“urement) à un moment ou à un autre sur le Chemin de la Réussite …

Mais, je tiens à rajouter ici que tout est Relatif ! Car lorsqu’on se plonge dans notre histoire commune avec la Grande Guerre, (Devoir de Mémoire) celle de 14-18 qui a atteint, il faut le savoir, une échelle et une intensité inconnues jusqu’alors. Elle a mis en jeu plus de soldats, provoqué plus de morts et causé plus de destructions matérielles que toute autre guerre antérieure. On se dit … Ben qu’est-ce qu’on a comme chance que de vivre à notre époque malgré la Crise et le manque d’emploi ! Alors, pardonnez-moi, mais lorsque j’entends que ça va mal … Pourquoi, tout simplement parce qu’aujourd’hui des solutions EXISTENT ! Encore faut-il prendre la peine d’OUVRIR les YEUX et d’accompagner en CONSCIENCE le Changement en cours

L’Enfer c’est les Autres :

Quand on écrit une pièce, il y a toujours des causes occasionnelles et des soucis profonds. La cause occasionnelle c’est que, au moment où j’ai écrit Huis clos, vers 1943 et début 44, j’avais trois amis et je voulais qu’ils jouent une pièce, une pièce de moi, sans avantager aucun d’eux. C’est-à-dire, je voulais qu’ils restent ensemble tout le temps sur la scène. Parce que je me disais que s’il y en a un qui s’en va, il pensera que les autres ont un meilleur rôle au moment où il s’en va. Je voulais donc les garder ensemble. Et je me suis dit, comment peut-on mettre ensemble trois personnes sans jamais en faire sortir l’une d’elles et les garder sur la scène jusqu’au bout, comme pour l’éternité. C’est là que m’est venue l’idée de les mettre en enfer et de les faire chacun le bourreau des deux autres. Telle est la cause occasionnelle. Par la suite, d’ailleurs, je dois dire, ces trois amis n’ont pas joué la pièce, et comme vous le savez, c’est Michel Vitold, Tania Balachova et Gaby Sylvia qui l’ont jouée.

Mais il y avait à ce moment-là des soucis plus généraux et j’ai voulu exprimer autre chose dans la pièce que, simplement, ce que l’occasion me donnait. J’ai voulu dire « l’enfer c’est les autres ». Mais « l’enfer c’est les autres » a été toujours mal compris. On a cru que je voulais dire par là que nos rapports avec les autres étaient toujours empoisonnés, que c’était toujours des rapports infernaux. Or, c’est tout autre chose que je veux dire. Je veux dire que si les rapports avec autrui sont tordus, viciés, alors l’autre ne peut être que l’enfer. Pourquoi ? Parce que les autres sont, au fond, ce qu’il y a de plus important en nous-mêmes, pour notre propre connaissance de nous-mêmes. Quand nous pensons sur nous, quand nous essayons de nous connaître, au fond nous usons des connaissances que les autres ont déjà sur nous, nous nous jugeons avec les moyens que les autres ont, nous ont donné, de nous juger. Quoi que je dise sur moi, toujours le jugement d’autrui entre dedans. Quoi que je sente de moi, le jugement d’autrui entre dedans. Ce qui veut dire que, si mes rapports sont mauvais, je me mets dans la totale dépendance d’autrui et alors, en effet, je suis en enfer. Et il existe une quantité de gens dans le monde qui sont en enfer parce qu’ils dépendent trop du jugement d’autrui. Mais cela ne veut nullement dire qu’on ne puisse avoir d’autres rapports avec les autres, ça marque simplement l’importance capitale de tous les autres pour chacun de nous.

Deuxième chose que je voudrais dire, c’est que ces gens ne sont pas semblables à nous. Les trois personnes que vous entendrez dans Huis clos ne nous ressemblent pas en ceci que nous sommes tous vivants et qu’ils sont morts. Bien entendu, ici, « morts » symbolise quelque chose. Ce que j’ai voulu indiquer, c’est précisément que beaucoup de gens sont encroûtés dans une série d’habitudes, de coutumes, qu’ils ont sur eux des jugements dont ils souffrent mais qu’ils ne cherchent même pas à changer. Et que ces gens-là sont comme morts, en ce sens qu’ils ne peuvent pas briser le cadre de leurs soucis, de leurs préoccupations et de leurs coutumes et qu’ils restent ainsi victimes souvent des jugements que l’on a portés sur eux.

À partir de là, il est bien évident qu’ils sont lâches ou méchants. Par exemple, s’ils ont commencé à être lâches, rien ne vient changer le fait qu’ils étaient lâches. C’est pour cela qu’ils sont morts, c’est pour cela, c’est une manière de dire que c’est une « mort vivante » que d’être entouré par le souci perpétuel de jugements et d’actions que l’on ne veut pas changer.

De sorte que, en vérité, comme nous sommes vivants, j’ai voulu montrer, par l’absurde, l’importance, chez nous, de la liberté, c’est-à-dire l’importance de changer les actes par d’autres actes. Quel que soit le cercle d’enfer dans lequel nous vivons, je pense que nous sommes libres de le briser. Et si les gens ne le brisent pas, c’est encore librement qu’ils y restent. –> De sorte qu’ils se mettent librement en enfer ! <–

Vous voyez donc que « rapport avec les autres », « encroûtement » et « liberté », liberté comme l’autre face à peine suggérée, ce sont les trois thèmes de la pièce.

Je voudrais qu’on se le rappelle quand vous entendrez dire… « L’enfer c’est les autres ».

Je tiens à ajouter, en terminant, qu’il m’est arrivé en 1944, à la première représentation, un très rare bonheur, très rare pour les auteurs dramatiques : c’est que les personnages ont été incarnés de telle manière par les trois acteurs, et aussi par Chauffard, le valet d’enfer, qui l’a toujours jouée depuis, que je ne puis plus me représenter mes propres imaginations autrement que sous les traits de Michel Vitold, Gaby Sylvia, de Tania Balachova et de Chauffard. Depuis, la pièce a été rejouée par d’autres acteurs, et je tiens en particulier à dire que j’ai vu Christiane Lenier, quand elle l’a jouée, et que j’ai admiré quelle excellente Inès elle a été. Sources/Vu ici

Le Bataillon Perdu :

Cette histoire est basée sur une histoire Vraie qui s’est déroulée durant la Grande Guerre de 14/18. Ce téléfilm (Remarquable) raconte l’histoire de ce que l’on à appelé le bataillon perdu, environ 550 militaires de 9 compagnies de la 77e division l’armée de terre des États-Unis commandé par Charles White Whittlesey, dans la forêt d’Argonne au cours de la Première Guerre mondiale, submergé par les forces allemandes en 1918.

Charles White Whittlesey :

Charles White Whittlesey est né à Florence (Wisconsin) le 20 janvier 1884. Il suivit des études d’avocat.

Enrôlé comme capitaine durant la Première Guerre mondiale, il fut versé dans la 77e division d’infanterie surnommée la métropolitaine division car elle était composée par une majorité de New-yorkais dont un grand nombre du Lower East Side, formant ainsi une troupe cosmopolite où l’on dénombrait 42 langues et dialectes !

Envoyé en France, c’est avec le grade de major qu’il monte à l’assaut des lignes allemandes à la tête de 554 hommes dans le secteur de Meuse-Argonne le 2 octobre 1918. Son bataillon progresse dans les lignes ennemies mais les autres unités alliées participant à l’opération sont quant à elles stoppées dans leur progression.

Isolé et encerclé Whittlesey et ses hommes vont résister pendant cinq jours sans aucun ravitaillement, aux vagues d’assaut allemandes qui utiliseront les lance-flammes. Le 4 octobre les Allemands demandent à Whittlesey de se rendre ce qu’il refuse. Cette nuit-là, les forces américaines font leurs jonction avec le « bataillon perdu » comme l’ont surnommé les correspondants de guerre ou du moins avec ce qu’il en reste car les pertes s’élèvent à 107 tués, 63 disparus et 190 blessés il ne restait que 194 hommes en état de marcher.

Wittlesey fut promu lieutenant-colonel et reçut l’une des trois premières médailles « pour l’honneur », Medal of Honor, ainsi que son second George MacMurtry.

Il rentra aux États-Unis en tant que héros de guerre. Il fut très sollicité pour des conférences et des commémorations de toutes sortes en rapport avec ces événements qui lui étaient douloureux. Le 26 novembre 1921, il embarqua sur le Toloa à destination de La Havane (Cuba). Il se retira dans sa cabine vers 23h00 et fut déclaré disparu le 27 vers 08h00 son corps ne fut jamais retrouvé. Il est probable qu’il se suicida cette nuit-là en se jetant à la mer. (Sources : Wikipédia)

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