Le Secret de la Vie Ondes Cosmiques et Radiations Vitales
Le Secret de la Vie : Ondes Cosmiques et Radiations Vitales 🙂 (1)
En 1925, Lakhovsky publie son livre intitulé : « Le Secret de la Vie : ondes cosmiques et radiations vitales », dont la préface est signée par le Pr. Jacques Arsène d’Arsonval. En 1928, le Dr Anastas Kotzareff publie à Paris une thèse sur le «Traitement par les ondes de cancers incurables, inopérables et abandonnés ». Puis les expériences de Lakhovski sont reprises en Italie : à l’hôpital de Pérouse avec le Dr Vicenzo Riviera, à Bologne, avec les Pr. Mazzadroli et Vareton et l’hôpital San Spirito de Rome avec le Dr Attili. Ce dernier est directeur d’un service de radiologie et traite 300 malades dont 24 cancéreux avec ce système. Grâce aux traitements utilisant la machine de Lakhovsky, il améliore la santé de ses patients et obtient deux rémissions complètes. D’autres pays sont les hôtes des ces recherches de médecine énergétique d’avant-garde, comme la Suède et la Brésil.
L’Ocsillateur à Ondes Multiples :
En 1928, Lakhovsky invente une nouvelle machine : l’Oscillateur à Ondes Multiples, le fameux MWO (Multi Waves Oscillator). Il émet l’hypothèse que « l’amplitude des oscillations cellulaires doivent atteindre une certaine valeur afin que l’organisme soit assez fort pour repousser les vibrations destructrices de certains microbes. » Pour lui, le but « n’est pas de tuer les microbes en contact avec la cellule en santé mais de renforcer les oscillations de chaque cellule directement par renforcement de la radioactivité du sang ou en produisant vers les cellules une action directe par renforcement de leur propre rayonnement. »
Son Oscillateur à Ondes Multiples (MWO) est construit autour d’une bobine de Tesla connectée à deux résonateurs entre lesquels le patient prenait place.
Ces deux antennes spéciales sont composées d’anneaux de cuivre concentriques semi-ouverts, maintenus en place grâce à du fil de soie. Ces anneaux sont disposés dans le même plan de telle manière que l’ouverture de chaque cercle soit disposée à l’opposé de la suivante selon une rotation de 180 degrés : le design de l’ensemble ressemble à une cible. L’appareil génère des hautes fréquences (150 MHz) sur un très large spectre qui sont couplées à des charges statiques en provenance des résonateurs.
Ces hautes fréquences produisent des effets de corona, produits par les décharges d’électricité statique à l’intérieur des antennes et autour de leur périmètre extérieur. Tesla les nommait electric brush et Lakhovsky les baptisa effuvia ou effluves. Ce sont les fameux rayons violets (violet ray energy).
Le patient était installé sur un siège en bois entre les deux résonateurs. Il était exposé à leur énergie durant quinze minutes.
Pour Lakhovsky, toute cellule vivante quelle qu’elle soit, composant un tissu ou un organe, est un émetteur récepteur miniature, ayant sa propre fréquence : « Dans la nature, tout est vibration, en particulier la vie cellulaire, menacée en cas de déséquilibre oscillatoire. Chaque cellule vivante est un minuscule circuit oscillant qui joue le rôle d’un émetteur-récepteur d’ondes. Les vibrations de tous les circuits oscillants du corps sont dépendantes des ondes électromagnétiques ».
Principes de fonctionnement :
La théorie qu’il élabora est que la maladie n’est pas le résultat d’un désordre chimique qui se rétablirait par une drogue ou un médicament. Pour lui, la maladie est le résultat d’une faiblesse de rayonnement et d’oscillation cellulaire, une anomalie dans l’amplitude de sa vibration, dues à un facteur externe à la cellule. L’intervention thérapeutique consiste alors, toujours selon Lakhovsky, à inverser le processus provoquant la baisse de rayonnement énergétique en amplifiant ou renforçant la vibration fondamentale de la cellule et en lui redonnant toutes ses harmoniques, au moyen de vibrations lui permettant de retrouver l’amplitude de son oscillation naturelle.
Dans cette optique, le MWO permettrait aux cellules affaiblies par la maladie, de vibrer dans son champ énergétique et d’être soumises à un bain de fréquences. Elles se mettraient à vibrer alors en résonance en captant les vibrations qui leur manquent. Les cellules malades sélectionnant automatiquement, dans un processus de résonance expliqué par la physique (loi de résonance sympathique), leur « bonne » fréquence, celle dont elles ont besoin pour retrouver leur vibration naturelle. Grâce à cette opération, elle se remettraient à vibrer à leur amplitude optimale. Ce processus est identique à la résonance provoquée par un diapason en vibration, posé sur la caisse d’une guitare : Il va faire vibrer la corde qui a la même fréquence que lui, en amplifiant sa vibration et en faisant chanter sa note.
Dans l’hypothèse de Lakhovsky, on peut donc comparer le processus qui rend un organisme malade, à celui qui rendrait un piano désaccordé. Les cellules (cordes) qui le composent, ont perdu leur vibration naturelle qui les faisait jouer juste ou en santé.
Le passage du « corps-instrument » du patient traité au sein du bain d’ondes générées par le MWO, jouerait le même rôle que le passage d’un instrument entre les mains d’un accordeur : Les cellules se « ré-accorderaient » en « écoutant » les ondes émises par l’appareil, au sein desquelles elle reconnaîtraient leur fréquence naturelle. Elles se remettraient alors à chanter leur note juste avec la bonne amplitude « santé », alors qu’elles avaient été préalablement faussées ou affaiblies par la maladie. L’accordeur de piano agit quant à lui sur la tension des cordes en appliquant une clé d’accord sur leur cheville (on parle ici toujours bien d’un piano). Pour que notre comparaison soit tout à fait correspondante, il faudrait que le tuning du piano se fasse automatiquement, en faisant simplement jouer les notes justes à l’instrument qui se ré-accorderait tout seul… N’oublions pas qu’en mars 2004, le Dr Jim Gimzewski de l’UCLA (University of California, Los Angeles) a démontré que les cellules émettaient des fréquences qui diffèrent selon que la cellule est en santé ou non. Il a rendu le son de ces cellules audible, grâce à un microscope à effet tunnel et qu’il envisage de pouvoir détecter des cancers, juste en écoutant les son des cellules d’un patient . ( La Puissance du Son – A voir )
Encore des hôpitaux :
Les premiers essais cliniques du nouvel oscillateur à ondes multiples de Georges Lakhovsky ont eu lieu en 1931 à l’hôpital St-Louis de Paris, dans le service du Dr Achille Louste. Le premier patient soigné souffrait d’un cancer de la bouche et fût guéri en l’espace de quatre semaines. La même année, Lakhovsky publia son livre « L’Oscillation Cellulaire ». Puis les années passent. En 1937, de séjour en Italie, il soigne le Pape Pie IX.
En 1939, la première édition anglaise que son livre « Le Secret de la Vie » est édité à Londres . En 1941, il fuit l’occupation nazie et part s’installer à New York. Il entretenait déjà des contacts avec un urologue new-yorkais et à Manhattan, Tesla avait son laboratoire… Une fois arrivé sur place, il rend visite à son ami Tesla et commence à faire des traitements expérimentaux de MWO thérapie dans un hôpital new-yorkais qui met en place durant 7 semaines un test clinique sur des patients atteints d’arthrite sévère et sur des malades incurables.
Dans l’édition suivante de The Secret of Life (1941) , Lakhovski décrit les résultats remarquables obtenus par cet important urologue de Brooklyn dont il ne donne pas l’identité.
La fin d’une aventure :
En 1942, Georges Lakhovsky meurt prématurément dans un accident, alors qu’il est renversé par une voiture. Encore conscient, il supplie les ambulanciers de le ramener chez lui et non à l’hôpital, où il est néanmoins conduit et où il meurt 24 heures plus tard. La mort accidentelle du chercheur, alors âgé de 73 ans, mit fin brutalement à la MWO thérapie expérimentée dans les hôpitaux de New York. Les protocoles de recherche avec cette thérapie prometteuse ont été arrêtés, les oscillateurs ont disparus du service hospitalier qui les expérimentait et les archives furent détruites. Ainsi, les résultats spectaculaires sur nombre de pathologies et les réussites thérapeutiques obtenues en particulier sur les cancers sont tombées dans les oubliettes …
Renouveau du MWO :
Il a fallu ensuite attendre vingt et un ans pour que l’on reparle du fameux MWO, grâce à un physicien, le Dr Bob Beck (1925-2002). Ce dernier a retrouvé en 1963 un Multi Waves Oscillator dans le sous-sol d’un hôpital de Californie. Il en étudia le fonctionnement et consulta les divers documents et brevets déposés par Lakhovsky à l’époque . En collaboration avec Thomas J. Brown, il écrivit une série d’articles explicatifs publiés dans le Borderlands Journal et de nombreuses personnes se mirent à fabriquer leur propre oscillateur.
En 1986, l’éditeur du Borderlands Journal publie un imposant manuel intitulé : The Lakhowsky Multiple Wave Oscillator Handbook. Puis l’édition fût revue et augmentée en 1988, 92 et 94. Ces nouvelles publications ont inclus des articles de chercheurs ou d’expérimentateurs ainsi que des articles écrits par Lakhovsky.
Georges Lakhovski a été l’un des grands pionniers de la médecine énergétique électromagnétique. Dès les années 1920, il a postulé que la cellule vivante captait et émettait de l’énergie. Il construisit des machines très simples basées sur la génération de courants électriques à haute fréquence, dont Nikola Tesla et Arsène D’Arsonval avaient avant lui soupçonné l’intérêt thérapeutique. Ainsi naquit le Multi Waves Oscillator.
Les recherches et observations faites par Lakhovski sont à mettre en parallèle avec celles du Dr Royal Rife, qui à la même époque, sur la côte ouest, s’est intéressé à l’usage thérapeutique des fréquences, pour détruire virus et bactéries. Cela se passait dans un laboratoire à La Jolla, en Californie mais cela, c’est une autre histoire…
Les rapports avec la Sonologie :
À la lecture de ces histoires d’ondes, on peut se demander quels sont les rapports existants entre les théories de Lakhovsky et la Sonologie. Dans cette discipline, nous nous intéressons aux sons, il est vrai mais aussi aux vibrations : tous les sons sont des vibrations mais toutes les vibrations ne sont pas des sons. (Voir la Vidéo en bas d’article ici)
Il existe des vibrations acoustiques inaudibles pour l’être humain et d’autres formes de vibrations, de nature non acoustique, soit électromagnétiques, comme les couleurs ou les hautes fréquences utilisées par Tesla ou Lakhovsky.
En Sonologie, nous nous intéressons à toutes formes de vibrations, acoustiques ou non et en cela les recherches relatées ici sont pour nous du plus grand intérêt en sachant que d’autres scientifiques se sont intéressés aussi à ce domaine de recherche.
Un des intérêts majeurs de la démarche de Lakhovsky réside dans le fait d’avoir eu l’idée de produire un bain harmonique multifréquentiel, dans lequel les cellules affaiblies peuvent trouver la fréquence qui leur manque. L’utilisation de telles ondes transcodée à un niveau acoustique par transfert d’octaves, permet de renforcer l’idée selon laquelle la pratique du chant harmonique ou d’autres instruments harmoniques, comme le monocorde ou harpe harmonique, les bols tibétains, la tampura, le sitar etc., permet de créer un champ multifréquenciel produisant un large spectre, dans lequel les cellules du corps vont trouver une nourriture vibratoire avec laquelle s’harmoniser. Ceci sans parler des ondes de forme générées par les intervalles harmoniques caractéristiques des sons, proches du nombre d’or et de la suite de Fibonacci, qui jouent certainement un rôle.
(1) – Voir également – Sources de cet Article – Qui fait suite à celui-ci – (Sur Les travaux de Nikola Tesla)
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