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Léonard de Vinci et la Fleur de Vie 🙂

[…] Un jour, alors que j’étais à New York pour donner un atelier et que je résidais temporairement chez la personne qui l’avait organisé, je vis que celle-ci avait chez elle une excellente collection de livres divers. J’en remarquai un sur Léonard de Vinci que je n’avais jamais vu auparavant. Il avait pour titre «The Unknown Leonardo». C’était là une compilation des dissertations, dessins et recherches de Léonard de Vinci que la majorité de ses critiques avaient jugés peu importantes par rapport au reste de son Å“uvre. Beaucoup de ses dessins effectués à main levée n’avaient même jamais été reproduits dans les ouvrages magnifiques publiés sur lui au cours des siècles.

Organo Gold : À la croisée des chemins.

La Vie parfois nous envoie des épreuves afin de tester notre valeur réelle au sujet de nos croyances, de nos convictions. Sommes nous un guerrier de la lumière, ou un sous-fifre, à la solde de ce monde actuel … qui court à sa ruine ? Lorsque nous nous rendons compte que l’éthique n’y est plus, que ce soit en amour, en amitié ou en affaire etc. Doit-on continuer à faire semblant, même si le cÅ“ur n’y est plus, ou doit-on se risquer et dire la vérité même si c’est à l’encontre de nos intérêts ? Certes, le choix est difficile, mais la valeur prime TOUJOURS. Ce qui signifie qu’en disant la vérité et seulement en disant la vérité, le miracle advient.

Fonctionnement de la Synergie Consciente 🙂

Comme nous l’avons vu dans le texte précédent, la Vie recherche la Vie. Un être humain qui n’a pas encore fait le saut et trouvé sa place est comme un mort vivant en errance dans ce monde. Ce mort-vivant recherche la vie, sauf qu’il n’a encore ni l’énergie, ni la vibration de quelqu’un de vivant. Il agit donc sous la souffrance, l’avidité, l’instinct de survie, prédation et inconscience. À ce stade, l’être humain représente donc un danger potentiel. (Riche comme pauvre) Avec l’expérience, il est sage d’être prudent car les actions de tels individus sont compulsives. Et dans un monde comme le nôtre avec la contrainte de payer ses factures, et ou, la sinistrose règne, il n’est pas rare d’être plus que déçu par les gens …

Existence Conscience Béatitude 🙂

Souvenez-vous toujours de ce Mantra : « Sat, chit, Ananda ». La Vie Recherche la Vie via l’existence, (Par les expériences et les épreuves), la Conscience (Par la Sagesse dans l’action), et la béatitude. (L’Abondance se trouvant dans le champ des possibles ou Vacuité) Cette logique existentielle se trouve au sein même du symbole que représente la Fleur de Vie. La Fleur de Vie est la perfection d’une forme représentative d’une idée ou d’une Vision Universelle à l’état de germe dans l’œuf. (De non encore manifesté !) La Fleur de Vie est la Graine d’une idée, d’une vie humaine en cours de manifestation. Elle est le principe métaphysique par excellence au service de l’Abondance pour tout un chacun.

L’artiste américain Mark Wagner réalise des Å“uvres d’art
en découpant des billets de banque 🙂

On se souvient tous de Gainsbourg pour ses chansons, sa poésie … Mais aussi pour ses excès. Un bon exemple de dérapage est resté dans les mémoires des téléspectateurs quand en 1984, il s’était attaqué à un tabou : l’argent. À cette occasion il avait décidé de brûler en direct un billet de 500 francs (1) pour protester contre la taxation à 74% de ses revenus !

La Femme est l’Initiatrice de l’Homme (1)

Les femmes ont une chance inouïe, certifie Jacqueline Kelen, passionnée par les mythes et les symboles : elles sont porteuses d’amour ; de cet amour sacré capable de révéler les hommes à eux-mêmes et de transfigurer le monde. Être femme est une chance pour vous ou vous arrive-t-il de le regretter ? J’ai toujours trouvé qu’il était magnifique d’être une femme. Non pas que ce soit une catastrophe d’être un homme, ni une infériorité… […] Selon que l’on est homme ou femme, notre mission diffère et il m’apparaît de plus en plus que celle de la femme est d’être la gardienne de l’Éternel par la voie de l’amour. La femme est une passeuse d’amour et elle incarne, ou du moins peut, au mieux d’elle-même, incarner cette verticalité qui relie l’être humain à Dieu.