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Month: janvier, 2008

La Bonne Année de Karl sur le Web 2 Zéro

23 janvier, 2008 (12:56) | Plus... | By: lespacearcenciel

Les Voeux 2008 de Karl sur le Web 2 Zéro

Raymond Aubrac en Arles РD̩bat Apr̬s le film РLes R̩quisitions de Marseille

23 janvier, 2008 (12:19) | Politique | By: lespacearcenciel

Raymond Aubrac en Arles – Débat Après le film – Les Réquisitions de Marseille –
A visionner avec le navigateur Firefox, souci sous internet Explorer.
Voir également la première partie ou avant débat

J‘ai filmé avec les moyen du bord. Pour éviter de perdre de la qualité, étant donné que par moment le son est faible, j’ai été dans l’obligation de poster cette seconde partie du débat sur Google vidéo (Cette partie fait plus de 600Mo !) Prenez la peine d’écouter jusqu’à la fin, je vous assure ce reportage vaut vraiment le détour !!! En augmentant le volume, j’ai fait l’essai, on entend très très bien… Merci de votre compréhension 😉

—>> Lien vers l’extrait du film <<—

[…] A partir de la 23ème minute : « Cela a démontré que la participation active du monde ouvrier dans la gestion de l’entreprise, ça avait le TORD MAJEUR de Réussir – ça posait un problème politique – Pendant la période ou j’étais encore à Marseille, quelque part au milieu d’Octobre 1944, un des membres du gouvernement de l’époque, Mr René Meyer (Ministre des travaux publics) est venu à titre personnel à Marseille me dire : » Attention Aubrac, ce qui s’est passé dans vos entreprises est très grave. Il ne faut pas laisser passer cette affaire. Il faut arrêter tout ça, sinon c’est mauvais pour votre carrière !!! Certains voudraient bien que ça disparaisse de la mémoire collective«  […]

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Les R̩quisitions de Marseille РExtrait du Film !

23 janvier, 2008 (11:19) | Politique | By: lespacearcenciel

РLes R̩quisitions de MarseilleExtrait du Film
De Sébastien Jousse et Luc Joulé
Ce billet fait suite à
celui ci et celui là Voir également l’Après débat

Le Conseil National de la Résistance avait élaboré un programme économique et social qui a marqué les années d’après-guerre. CFDT Magazine de janvier 2005, consacre une page au film documentaire de Sébastien Jousse et Luc Joulé Les Réquisitions de Marseille (mesure provisoire) qui raconte la manière dont Marseille a participé à la reconstruction.

Voici la présentation qu’en fait le Journal du CNRS :

29 août 1944. Au lendemain de la Libération de Marseille, au sortir des combats, les ouvriers relancent sans attendre les ateliers tandis que l’épuration met en fuite les patrons accusés de collaboration. Des usines « sans têtes » produisent à tout va, animées par le désir de relever la Nation. Et on créé, pour les diriger, des comités de gestion.

Nommé Commissaire régional de la République par de Gaulle, Raymond Aubrac, figure mythique de la résistance, va donner à quinze grandes entreprises marseillaises les moyens de perpétuer cet élan. Comment ? « En appliquant une mesure propre à l’état de guerre : la réquisition », explique Robert Mencherini, enseignant-chercheur à la Maison méditerranéenne des sciences de l’Homme d’Aix-en-Provence, qui a minutieusement étudié l’événement. « Dans le Sud de la France, nombreuses étaient les entreprises placées sous contrôle de l’État et gérées par un comité auquel participaient les ouvriers. Mais ce qui fait des réquisitions de Marseille une expérience unique, c’est que quinze mille ouvriers furent concernés et ce, pendant plus de trois ans. » Une organisation du travail inédite que le chercheur a mis en valeur dans un précieux documentaire.

Au cÅ“ur du film, les Aciéries du Nord : « leur directeur, nommé avec l’aval de la CGT et des ouvriers, était assisté d’un comité consultatif de gestion. Symbole démocratique, ce conseil était composé de représentants du personnel – un ingénieur, un technicien, un ouvrier – et de représentants des actionnaires. » Et tous s’en portent bien : les ouvriers, qui voient leur salaire et leur travail s’améliorer, augmentent spontanément les cadences. L’entreprise est largement bénéficiaire. On investit les bénéfices dans des logements sociaux, on construit un centre culturel, on crée les premiers CE, etc… Autant d’avancées souhaitées par le programme du Comité national de la résistance (CNR) qui prévoyait, entre autres, sécurité sociale et retraite pour tous. « Dans la mémoire collective, la Libération est synonyme de lutte contre l’occupant. Mais elle porte aussi en elle un profond élan de contestation sociale et politique », poursuit le chercheur.

Ce documentaire n’est pas seulement un hommage aux acteurs de cette époque, il interroge aussi le présent. Raymond Aubrac l’explique bien, « Alors qu’aujourd’hui on débat sur les privatisations, plus personne ne se souvient des raisons pour lesquelles les entreprises avaient été nationalisées. »

Et la fin de l’aventure est riche, elle aussi, d’enseignements. Comme le dit CFDT Magazine, l’idée des comités de gestion est loin de faire des émules à Paris. Certains patrons commencent à parler des « soviets de Marseille ». En 1947, alors que la guerre froide se dessine, le Conseil d’Etat annule les réquisitions. L’Etat, qui risque d’être condamné pour abus de pouvoir, reverse aux actionnaires la majeure partie des 600 millions de francs de bénéfice réalisés par les quinze entreprises.  » Le problème, c’est que nous avions fait la démonstration que ouvriers, cadres, ingénieurs et techniciens réunis pouvaient travailler ensemble sans barrières et mener une entreprise aussi bien que les patrons », confie albert Fabre à la caméra, ancien ouvrier des Aciéries aujourd’hui décédé. » Sources de cet article

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Le Dalaï-Lama – Je suis un Marxiste en robe Bouddhiste…

22 janvier, 2008 (23:27) | Politique | By: lespacearcenciel

Le Dalaï-Lama – Je suis un Marxiste en robe Bouddhiste… – Entretien (Extrait !)

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Voir Plus…

Il ne rate pas une occasion de rire à gorges déployée. Pas de langue de bois, pas de sermon, pas de récriminations… Entretien avec le leader politique le plus Cool du monde (Extrait du Nouvel Observateur N 2254 du 17 au 23 janvier 2008, spécial Tibet, le défi à la Chine !)

[…] N.O –  Sur un plan plus personnel, vous arrive-t-il de ressentir du découragement ? Le dalaï-Lama. – Presque pas. Il faut accepter la réalité. Si la réalité est sans espoir, je la reconnais comme telle. Mais je n’en tire pas de frustration. J’accepte le fait. Un fait est un fait.

N.ODonc pas de place pour le désespoir ? Le Dalaï-Lama – Il y en a parfois, mais pas de nature à créer un sentiment de grand malheur. Au VIIIème siècle, un grand maître bouddhiste indien a dit :  » Face à une situation désespérée ou tragique, dites-vous cela : »S’il y a un moyen de la surmonter, pas besoin de s’angoisser ; s’il n’y a aucun moyen de la surmonter, s’angoisser ne sert à rien. Il faut accepter ». Cette façon de penser m’est d’un très grand secours. Ainsi  avec la question tibétaine il y a des difficultés, mais il y a toujours la possibilité que ça change. Nous luttons avec une approche raisonnable. Déjà de plus en plus de Chinois montrent leur solidarité et leur soutien. Et le moral des Tibétains à l’intérieur du Tibet est très fort. […]

Dailymotion – 20 millions d’euros de chiffre d’affaires Pour 2008

22 janvier, 2008 (22:02) | Internet | By: lespacearcenciel

Dailymotion – 20 millions d’euros de chiffre d’affaires Pour 2008
– DailyMotion – Complément d’enquête –


John Rambo – BA [VF]

22 janvier, 2008 (21:54) | Plus... | By: lespacearcenciel

John Rambo – BA [VF]

John Rambo s’est retiré dans le nord de la Thaïlande, où il mène une existence simple dans les montagnes. Il pêche et capture des serpents venimeux pour les vendre, et se tient à l’écart de la guerre civile qui fait rage non loin de là, sur la frontière entre la Thaïlande et le Myanmar – l’ancienne Birmanie.
La violence du monde le rattrape lorsque des volontaires humanitaires menés par Sarah et Michael Burnett viennent le trouver pour qu’il les guide jusqu’à un camp de réfugiés auquel ils veulent apporter une aide médicale. Rambo finit par accepter et leur fait remonter le fleuve, jusqu’à l’autre côté de la frontière.
Deux semaines plus tard, le pasteur Arthur Marsh lui apprend que les volontaires ne sont pas revenus et que les ambassades refusent de l’aider à les retrouver. Ancien soldat d’élite américain, traumatisé par le Vietnam, Rambo a beau rejeter la violence et le conflit, il sait mieux que personne ce qu’il faut faire dans ce genre de situation…