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Nicolas Sarkozy Et La Laïcité – Trop Fort !!!
Surtout après une telle visite… Ecoutez…

C‘est bien connu, le Temporel avec le Spirituel, font toujours bon ménage ( A une autre époque c’était les Rois et Empereurs – « Constantin 325 apr J.C – concile de Nicée », avec les Papes !) Vous avez remarqué, toujours rien au sujet du Tibet, et pour cause… !!! Le Bouddhiste en Question est un Bouddhiste Zen -« Japon » (Je n’ai rein non plus contre les Bouddhistes Zen !) Donc, Un peu de discernement SVP !

Raphaël – Ô compagnons

Hommage à Paul Harot – Dessinateur Humoriste Peintre et Caricaturiste

Hommage à HAROT Paul Dessinateur, Peintre et Humoriste
né a Marseille le 6 avril 1895 décédé en 1987

Un de nos meilleurs dessinateurs, humoristiques contemporains, a dessiné pendant plus d’un demi siècle et il a collaboré à de nombreuses revues humoristiques françaises et étrangères :

« Ici Paris, Ric et Rac, MARIUS, Le Hérisson, La PRESSE, Blagues, Le Journal Amusant, L’almanach VERMOT, Le Petit Marseillais, LE RIRE, LA LANTERNE, Le Petit Parisien, Excelsior, LE MATIN, L’EPOQUE, L’œuvre … » A huit ans, nous sommes en 1903, il exécute son premier croquis. Deux ans plus tard il constitue la pièce maîtresse du premier numéro de « l’album drolatique ». La publication de cet ouvrage devient régulière. Il entre à l’Ecole des Baux arts de la capitale méridionale.

Après de brillantes études et sortant second de l’ Ecole des Beaux Arts, de la même promotion et grand ami de DUBOUT, nous sommes en 1912 et le jeune Paul Harot fête son premier succès public : la parution de l’une de ses œuvres sur le « Petit Marseillais ». Il monte à Paris, et c’est après les hostilités de la guerre 1914-1918 que la chance commence à lui sourire. … Il part outre-atlantique et collabore au « Saturday Evening Post ». Il connaît un certain succès en confectionnant à la pointe sèche un admirable portrait de Charles LINBERG, qui sera exposé dans plusieurs galeries New-Yorkaises réputées. Il dessine les costumes pour le pus grand music hall « Ziegfeld Folies ».

De retour en France Paul Harot s’installe dans la capitale et ancre son atelier 54 rue Lhormond dans le cinquième arrondissement (5e ). Il donne libre cours à sa fantaisie et à son humour est publié dans : Noir et Blanc, France Dimanche, Ici Paris, etc…

Paul Harot est également un peintre de grand talent, membre de la société des artistes français, dont il reçoit une médaille d’argent (voir la photo). Redoutable croqueur de belles dames aussi bien que de vieux messieurs dans les dessins humoristiques, il s’inspire de scènes de la vie quotidienne, mais pas seulement, car nus, natures mortes, paysages, portraits, bouquets de fleurs sont d’autres témoins de sa large palette.

РGar̤on ! Ce vin est trouble, voyez il y a m̻me une mouche dedans !
– le vin n’est tout de même pas très trouble, puisque Monsieur, peut voir la mouche !

РAh, je suis fatigu̩e !
РEn effet, vous avez les yeux cern̩s !

De la célébrité il aimait à citer ce proverbe :
« Le vrai succès est comme un fleuve, plus il est profond, moins il fait de bruit« .
Et il disait : On a tendance à considérer la célébrité uniquement du point de vue pécuniaire. Van Gogh ne pouvait vendre ses peintures, pourtant sa carrière fut une réussite incontestable. Texte écrit par Jeanne Tekeian sa veuve. Et à moi de rajouter que Mr Paul Harot, né Thekeian était un homme simple, bon, qui vivait pour son art, sans rechercher l’intérêt financier.

–Raymond Aubrac en Arles le samedi 19 janvier 2008 – « L’élan Vital nous Manque ! » –
– L’ancien Héros de la Résistance était en Arles hier après-Midi –
Un évènement Extrêmement Important (Dans le Cadre du Devoir de mémoire)
à voir  et à Re-VOIR !

Qui connaît l’aventure des quinze entreprises réquisitionnées de Marseille de 1944 à 1948 ? Ce n’est pourtant pas tous les jours que 15.000 ouvriers accèdent et participent à la gestion de leur entreprise et réalisent de surcroît d’importants bénéfices !

Accompagnés par l’historien Robert Mencherini, les derniers acteurs de cette aventure, dont Raymond Aubrac, à l’époque Commissaire régional de la République à Marseille, font revivre cet épisode inédit, en revenant sur les lieux même de leur travail. Dans le bouillonnement social et populaire de la Libération, ils ont inventé une forme de « gestion participative », un modèle démocratique de l’organisation du travail dans l’entreprise.

L‘Histoire aurait-elle oublié ce précédent bien embarrassant ? Le film questionne la mémoire de cette expérience sociale, née du programme du Conseil national de la Résistance préconisant l’instauration d’une « véritable démocratie économique et sociale » qui, 60 ans après, résonne encore singulièrement avec les débats contemporains sur la valeur du travail et la finalité de l’économie. Avant Film/Débat : Que reste t-il des acquis et de l’esprit de la résistance ? Animé par RAYMOND AUBRAC, Ancien Commissaire de la République. Robert Mencherini, historien. Luc Joulé, Co-Réalisateur.

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« La différence entre la libération et la période actuelle ? Elle saute aux yeux. A l’époque, dans une période où il y avait une masse considérable d’élan vital, on allait re-construire le pays dans un délai très court. C’est probablement ce qui nous manque actuellement. L’élan Vital.  » Raymond Aubrac, ancien commissaire régional de la République, nommé à Marseille par le Conseil National de la Résistance et le Général De Gaulle, à livré hier (samedi 19 janvier 2008), à la maison de la vie associative, un témoignage inhabituel.

Pas de faits d’armes : il a surtout évoqué les réquisitions d’entreprises à la libération, une page oubliée de notre histoire. Attac Arles l’avait invité ainsi que l’Historien Robert Mencherini, auteur d’un livre sur le sujet, et Luc Joulé, co-réalisateur du documentaire « Les réquisitions de Marseille », qui a été projeté. Entre 1944 et 1948, Raymond Aubrac avait réquisitionné 15 entreprises marseillaises, soit 14 000 salariés, pour faire repartir l’outil productif. Cette expérience d’autogestion, tentée également à Lyon, Toulouse ou Montpellier, avait été interrompue par une loi. « Les réquisitions étaient une mesure normale, disait hier Mr Aubrac. C’est devenu un problème politique car la participation des salariés à la gestion de leur entreprise avait le tord de réussir !«  Au point de provoquer, dés octobre 1944, une demande du ministre des travaux publics de l’époque de cesser l’expérience ! Selon le résistant, les réquisitions « Touchent au problème de base de cette société : la propriété« . Depuis, « on a occulté le problème, on voulait que ça disparaisse de la mémoire collective« . En écho à son témoignage, Louis Guillot, un ancien des CMP, estimait que « c’est volontaire qu’ils fassent le black-out sur cette mémoire ouvrière… ».

En Savoir Plus : « La libération et les entreprises sous gestion ouvrière », de Robert Mencherini, édition. L’Armattan, 19. 85 € (Sources de cet article : Journal La Provence du dimanche 20 janvier 2008)

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 Créer c’est Résister – Résister c’est Créer !!!

Voici le texte de l’appel à la commémoration du 60e anniversaire du Programme du Conseil National de la Résistance adopté dans la clandestinité le 15 mars 1944, lu par les figures historiques de la Résistance dont Raymond et Lucie Aubrac !

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Tom Cruise parle de la Scientologie…

 

Voici mon com de cette vidéo sur le Web 2 zéro : Tom Cruise a ses convictions et il les défend, quant au reste c’est toujours une histoire de compréhension avec une bonne dose de discernement, à bon entendeur… ! Vous avez tous compris, je n’ai pas l’intention de taper sur Tom Cruise, quant à la scientologie, est-elle meilleure ou pire que les autres églises… ? Avons nous réellement besoin de nouvelles églises… ? La question ne se pose même pas, c’est d’une évidence que NON !!!