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Restaurants Arles – L’Atelier de J.L.Rabanel

28 novembre, 2007 (10:59) | Plus... | By: lespacearcenciel

atelier-rabanel-arles.jpgRestaurant Arles – L’Atelier de J.L.Rabanel

Tout auréolé d’une étoile au Michelin depuis mars dernier, Jean-Luc Rabanel, outre son atelier, pense déjà à ouvrir une deuxième enseigne à Arles. A en croire les rumeurs, elle serait installée non loin de son actuel restaurant.

Pour décrire la cuisine de cet homme qui a donné au bio toutes ses lettres de noblesse, on parlera d’un travail tout de délicatesse, teinté, subtil, dans lequel les herbes, épices et jus impriment un rythme. Tempura de beignets de courge telle une dentelle, sorbet tomate-pourpier et sablé aux amandes avec de petits légumes finement détaillés-mini girolles et herbes… Lire la suite…

L’irradiation des aliments…

29 octobre, 2007 (20:58) | Plus... | By: lespacearcenciel

L’irradiation des aliments : un instrument méconnu de la mondialisation libérale

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L’irradiation des aliments (officiellement appelée « ionisation ») est un procédé utilisé pour décontaminer les denrées, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et conférer une meilleure conservation (parfois seulement en apparence). Il consiste à soumettre les produits à un rayonnement gamma de très haute énergie (directement issu de Cobalt 60, ou plus rarement de Césium 137) ou à un faisceau d’électrons de très haute énergie. Il s’agit d’une technologie nucléaire mise en oeuvre dans des installations spécifiques.

Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (dont la toxicité est maintenant largement avérée et peu populaire) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.

Elle permet ainsi un traitement de long terme de très nombreux produits, des déplacements sur longue distance et des stockages de longue durée. Ces avantages, ainsi que son efficacité multi-usages, en font une technologie particulièrement appropriée pour l’économie « moderne » mondialisée et pour le développement des échanges internationaux.

Une technologie à hauts risques

Si l’irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, elle provoque une perte de vitamines et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse dus à la prolifération de radicaux libres et de molécules nouvelles au sein de l’aliment irradié. Par ailleurs, l’irradiation peut être utilisée comme substitut à de bonnes méthodes sanitaires de production Ou encore, l’équilibre microbiologique de l’aliment irradié étant fragilisé, des agents pathogènes peuvent se développer plus rapidement et proliférer puisque leur « concurrents » ont été éliminés.

Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires, et les dommages liés aux modes de production et de distribution industriels : pollutions et production de gaz à effet de serre (y compris par la multiplication des transports longs liés à la délocalisation des productions), atteinte à la biodiversité par la spécialisation des productions, destruction de milieux naturels.

Enfin, ce mode d’organisation de la production et des échanges agroalimentaires implique des risques socio-économiques. La délocalisation des productions vers des pays à bas coûts sont une menace pour l’emploi et l’économie locale. La spécialisation des productions dans l’agriculture conduit à l’extension de monocultures et de la culture intensive, qui, au-delà des conséquences environnementales qu’elles induisent, compromettent encore davantage la souveraineté alimentaire des peuples de la planète. La concentration des entreprises renforce les multinationales, dont le pouvoir économique, financier et politique constitue une menace réelle pour la démocratie. Lire la suite…

Embryons Mi-Homme, Mi-Animal…

27 octobre, 2007 (22:11) | Plus... | By: lespacearcenciel

Bientôt des embryons mi-homme, mi-animal – Prêt pour le grand frisson ?

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Les autorités britanniques viennent d’autoriser la création d’embryons humains à partir d’ovocytes animaux.

A PRIORI, le seul principe de créer des embryons mixtes homme-animal a de quoi faire dresser les cheveux sur la tête de tous ceux qui estiment que la dignité humaine ne se partage pas. Pourtant, la très sévère agence de biomédecine britannique (HFEA, Human Fertilisation and Embryology Autority) après une large concertation auprès de la population lancée en avril dernier, vient d’accepter que certains laboratoires de recherche, sous certaines conditions, produisent des embryons hybrides, des « cybrides », créés à partir d’une cellule humaine et d’un ovocyte de vache par exemple.

L‘imagination des scientifiques semble sans limite dans cette voie qu’est la thérapie cellulaire, qui mélange les techniques de procréation avec celles de production de cellules souches. Le principe de ces cybrides est d’obtenir un embryon « humain » selon le principe du clonage, mais en injectant le noyau d’une cellule humaine non pas dans un ovocyte féminin (difficile à obtenir) mais dans un ovocyte prélevé chez l’animal (de recueil plus aisé). À partir de ces embryons cybrides, des lignées de cellules souches peuvent être cultivées. L’Agence de biomédecine britannique a assorti son feu vert à la nécessité de détruire l’embryon quatorze jours au plus tard après sa création.

À quoi vont servir ces lignées de cellules souches issues de cybrides ? Pour l’instant, deux équipes de chercheurs anglais ont demandé l’autorisation d’en fabriquer, celle de Stephen Minguer du King’s College de Londres et celle de Lyle Armstrong (université de Newcastle). Chacune avec des objectifs différents.

«Pour mieux comprendre»

Pour Stephen Minguer, il s’agit de disposer de lignées de cellules souches humaines caractéristiques d’affections graves pour déterminer les mécanismes de la maladie et tester des médicaments sur ces cultures de cellules. Lyle Armstrong précise vouloir « utiliser ces cellules pour mieux comprendre comment produire des cellules souches humaines ». À partir de ces cybrides ? Le chercheur ne le dit pas. Le but encore très lointain, serait de jeter les bases de nouveaux traitements contre les maladies graves et fréquentes (Parkinson, Alzheimer, sclérose latérale amyotrophique…).

Cette autorisation est loin de faire l’unanimité. Pour le Dr Helen Watt (Centre Linacre d’éthique) citée par la BBC, cette technique « est une violation de plus aux droits de l’embryon ». Josephine Quintavalle, d’un groupe de réflexion sur l’éthique et la reproduction, estime que la HFEA a tort de prendre une décision qui devrait relever du Parlement. « Ce n’est pas un feu vert total pour les hybrides, répond un des porte-parole de la HFEA, mais la reconnaissance que ce champ de recherche peut s’ouvrir, avec d’infinies précautions. »

Le FIGARO / MARTINE PEREZ.
Publié le 06 septembre 2007 – 08h56

Pour Un Grenelle de l’Environnement Efficace de suite !!! (Proposition concrète !)

23 octobre, 2007 (12:20) | Politique | By: lespacearcenciel

Voici une proposition concrète à l’intention du Grenelle de l’Environnement ! Le réacteur Pentone : On peut se demander pourquoi, les constructeurs et « les pétroliers » ne s’y intéressent toujour pas… ?

L’efficacité du réacteur Pantone au grand jour pour http://www.econologie.com/

A votre avis… ?

L’organisation du Grenelle Environnement portée par Jean Louis BORLOO, Dominique BUSSEREAU et Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, vise à créer les conditions favorables à l’émergence de cette nouvelle donne française en faveur de l’environnement.

Il réunira pour la première fois l’Etat et les représentants de la société civile afin de définir une feuille de route en faveur de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables.

Il doit aboutir à la fin du mois d’octobre à un plan d’action de 15 à 20 mesures concrètes et quantifiables recueillant un accord le plus large possible des participants.

 

Ce plan, dont les mesures seront évaluées a priori et a posteriori , sera donc un point de départ à la mobilisation de la société française pour inscrire son développement dans une perspective durable.

La première phase est consacrée au dialogue et à l’élaboration des propositions au sein des groupes. Six groupes de travail seront constitués pour préparer cette échéance :

1 – un groupe « lutter contre les changements climatiques et maîtriser la demande d’énergie »
2 – un groupe « préserver la biodiversité et les ressources naturelles »
3 – un groupe « instaurer un environnement respectueux de la santé »
4 – un groupe « adopter des modes de production et de consommation durables »
5 – un groupe « construire une démocratie écologique »
6 – un groupe « promouvoir des modes de développement écologiques favorables à l’emploi et à la compétitivité »

Les groupes de travail sont composés de 40 membres répartis en 5 collèges. Ces collèges ont pour vocation de représenter les acteurs du développement durable : l’Etat, les collectivités locales, les ONG, les employeurs et les salariés. Sources…

Un site à découvrir : « Celui de l’association Kokopelli » Un petit coucou à « Andrée » ;-)

20 octobre, 2007 (20:25) | Plus... | By: lespacearcenciel

 

L’ Association Kokopelli a pour finalité :

1 – de remettre en valeur, dans les pays Européens, les anciennes variétés potagères, de les rendre de nouveau accessibles aux jardiniers en organisant une production et une distribution de semences. (Bio)
2 – d’oeuvrer dans le Tiers-Monde à la mise en valeur de techniques d’agriculture durable par le don de semences traditionnelles ainsi qu’à la mise en place de réseaux paysans de production de semences et de centres de ressources génétiques. Découvrir le site de l’association…

Bravo Mr Rabanel !!! – Restaurant Arles – GaultMillau

20 octobre, 2007 (19:47) | Plus... | By: lespacearcenciel

Jean-Luc Rabanel, meilleur cuisinier de France selon le « GaultMillau » (Article de Pierre Psaltis – Journal La Provence, du samedi 20 octobre 2007) –

Jean-Luc Rabanel a décroché le titre de chef de l’année, décerné par le guide GaultMillau. Ses préparations, qui mêlent les saveurs de Provence et d’Asie, ont conquis les papilles des critiques parisiens.

Mardi midi, Jean-Luc Rabanel sera à Paris à l’invitation du guide GaultMillau. Un grand jour pour celui qui se verra décerner, devant un parterre de 150 chefs parmi les plus prestigieux de France et les plus influents critiques, le titre de chef de l’année. Une émotion pour ce fils du Tarn-et-Garonne, né il y a 42 ans à Monflanquin dans une famille de paysans. « Le matin, quand je quittais la couette douillette, c’était pour traverser une imense ferme glaciale et rejoindre ma grand-mère qui râpait le chocolat dans le lait fumant ».

C‘est dans les souvenirs de cette enfance pavée de bonheurs que Jean-Luc Rabanel s’est lancé dans la cuisine : « On était nombreux à table, à 4 ans et demi j’allais ramasser les haricots verts, je mettais le couvert, je regardais tuer le cochon ». depuis, le chef n’a eu de cesse de retrouver les goûts et ambiances de cette vie de cocagne. Celui qui est maître cuisinier de France a décroché son CAP-BEP sans embûches et fait un passage remarqué à l’école hôtelière de Bergerac. A 17 ans, il travaille les confits, foies gras et truffes dans les petits troquets de sa région. « Pour moi, la cuisine c’étaient les cochonnailles et les champignons… » Six ans plus tard, le chef décide de cesser ses errances culinaires en lisant un reportage sur la vie de Paul Bocuse qui pose nu dans Play-Boy… « là, j’ai eu envie de côtoyer ces gens qui ont du talent sans se prendre au sérieux ». S’en suivront, au fil des rencontres avec Alain Ducasse et d’autres ténors des fournaux, des installations remarquées : Lou Mastrou à Juan-les-Pins, Côté Garonne à Tonens. Jusqu’en 2000 où il découvre la Chassagnette, un restaurant en dormance en pleine Camargue. « Pendant 6 ans, on a cultivé un potager bio, on a travaillé avec des petits producteurs, on a joué la carte de la vérité dans les goûts », sourit-il.

En mars 2006, Rabanel ouvre son Atelier en centre ville d’Arles; contre toute attente, il prévilégie « une petite salle pour une cuisine de précision. Je voulais tout maîtriser ». Depuis les distinctions se succèdent jusqu’à ce titre envié de chef de l’année. « Un repas, ce sont des notes olfactives et gustatives, je n’ai rien trouvé de mieux pour m’exprimer », lance Rabanel.

Et il faut croire que GaultMillau est son porte-voix. Bravo !!! Voir son site…