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L’Odysée de la vie – Musique : De Richard Clayderman

11 novembre, 2007 (21:22) | Plus... | By: lespacearcenciel

L‘Odysée de la Vie – Musique : De Richard Clayderman

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Christophe Mangelle et sa lutte contre le Cancer… Chapeau bas Mr la Crevette !!!

9 novembre, 2007 (21:42) | Plus... | By: lespacearcenciel

– Son blog – Sa vidéo –

L’irradiation des aliments…

29 octobre, 2007 (20:58) | Plus... | By: lespacearcenciel

L’irradiation des aliments : un instrument méconnu de la mondialisation libérale

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L’irradiation des aliments (officiellement appelée « ionisation ») est un procédé utilisé pour décontaminer les denrées, ralentir le mûrissement, inhiber la germination et conférer une meilleure conservation (parfois seulement en apparence). Il consiste à soumettre les produits à un rayonnement gamma de très haute énergie (directement issu de Cobalt 60, ou plus rarement de Césium 137) ou à un faisceau d’électrons de très haute énergie. Il s’agit d’une technologie nucléaire mise en oeuvre dans des installations spécifiques.

Souvent présentée comme moins nocive que d’autres modes de conservation industriels, cette technologie permet surtout de contourner – au moins en partie – l’usage de produits chimiques (dont la toxicité est maintenant largement avérée et peu populaire) ; elle est plus souple d’utilisation que la surgélation (contraignante par le maintien de la chaîne du froid) et peut être appliquée à quasiment tous types de produits, y compris les produits frais, à l’inverse des traitements par la chaleur.

Elle permet ainsi un traitement de long terme de très nombreux produits, des déplacements sur longue distance et des stockages de longue durée. Ces avantages, ainsi que son efficacité multi-usages, en font une technologie particulièrement appropriée pour l’économie « moderne » mondialisée et pour le développement des échanges internationaux.

Une technologie à hauts risques

Si l’irradiation ne rend pas les produits alimentaires radioactifs, elle provoque une perte de vitamines et présente des risques de cancérogénèse et de mutagénèse dus à la prolifération de radicaux libres et de molécules nouvelles au sein de l’aliment irradié. Par ailleurs, l’irradiation peut être utilisée comme substitut à de bonnes méthodes sanitaires de production Ou encore, l’équilibre microbiologique de l’aliment irradié étant fragilisé, des agents pathogènes peuvent se développer plus rapidement et proliférer puisque leur « concurrents » ont été éliminés.

Sur le plan environnemental, on peut citer les risques liés au fonctionnement des installations (nucléaires) et au transport de matières nucléaires, et les dommages liés aux modes de production et de distribution industriels : pollutions et production de gaz à effet de serre (y compris par la multiplication des transports longs liés à la délocalisation des productions), atteinte à la biodiversité par la spécialisation des productions, destruction de milieux naturels.

Enfin, ce mode d’organisation de la production et des échanges agroalimentaires implique des risques socio-économiques. La délocalisation des productions vers des pays à bas coûts sont une menace pour l’emploi et l’économie locale. La spécialisation des productions dans l’agriculture conduit à l’extension de monocultures et de la culture intensive, qui, au-delà des conséquences environnementales qu’elles induisent, compromettent encore davantage la souveraineté alimentaire des peuples de la planète. La concentration des entreprises renforce les multinationales, dont le pouvoir économique, financier et politique constitue une menace réelle pour la démocratie. Lire la suite…

Embryons Mi-Homme, Mi-Animal…

27 octobre, 2007 (22:11) | Plus... | By: lespacearcenciel

Bient̫t des embryons mi-homme, mi-animal РPr̻t pour le grand frisson ?

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Les autorités britanniques viennent d’autoriser la création d’embryons humains à partir d’ovocytes animaux.

A PRIORI, le seul principe de créer des embryons mixtes homme-animal a de quoi faire dresser les cheveux sur la tête de tous ceux qui estiment que la dignité humaine ne se partage pas. Pourtant, la très sévère agence de biomédecine britannique (HFEA, Human Fertilisation and Embryology Autority) après une large concertation auprès de la population lancée en avril dernier, vient d’accepter que certains laboratoires de recherche, sous certaines conditions, produisent des embryons hybrides, des « cybrides », créés à partir d’une cellule humaine et d’un ovocyte de vache par exemple.

L‘imagination des scientifiques semble sans limite dans cette voie qu’est la thérapie cellulaire, qui mélange les techniques de procréation avec celles de production de cellules souches. Le principe de ces cybrides est d’obtenir un embryon « humain » selon le principe du clonage, mais en injectant le noyau d’une cellule humaine non pas dans un ovocyte féminin (difficile à obtenir) mais dans un ovocyte prélevé chez l’animal (de recueil plus aisé). À partir de ces embryons cybrides, des lignées de cellules souches peuvent être cultivées. L’Agence de biomédecine britannique a assorti son feu vert à la nécessité de détruire l’embryon quatorze jours au plus tard après sa création.

À quoi vont servir ces lignées de cellules souches issues de cybrides ? Pour l’instant, deux équipes de chercheurs anglais ont demandé l’autorisation d’en fabriquer, celle de Stephen Minguer du King’s College de Londres et celle de Lyle Armstrong (université de Newcastle). Chacune avec des objectifs différents.

«Pour mieux comprendre»

Pour Stephen Minguer, il s’agit de disposer de lignées de cellules souches humaines caractéristiques d’affections graves pour déterminer les mécanismes de la maladie et tester des médicaments sur ces cultures de cellules. Lyle Armstrong précise vouloir « utiliser ces cellules pour mieux comprendre comment produire des cellules souches humaines ». À partir de ces cybrides ? Le chercheur ne le dit pas. Le but encore très lointain, serait de jeter les bases de nouveaux traitements contre les maladies graves et fréquentes (Parkinson, Alzheimer, sclérose latérale amyotrophique…).

Cette autorisation est loin de faire l’unanimité. Pour le Dr Helen Watt (Centre Linacre d’éthique) citée par la BBC, cette technique « est une violation de plus aux droits de l’embryon ». Josephine Quintavalle, d’un groupe de réflexion sur l’éthique et la reproduction, estime que la HFEA a tort de prendre une décision qui devrait relever du Parlement. « Ce n’est pas un feu vert total pour les hybrides, répond un des porte-parole de la HFEA, mais la reconnaissance que ce champ de recherche peut s’ouvrir, avec d’infinies précautions. »

Le FIGARO / MARTINE PEREZ.
Publi̩ le 06 septembre 2007 Р08h56

La Phytothérapie en danger…

25 octobre, 2007 (18:33) | Plus... | By: lespacearcenciel

La Phytothérapie en danger…

Bobby (Suite…)

25 octobre, 2007 (16:16) | Politique | By: lespacearcenciel

Court extrait du film…

[…] Trop souvent nous célébrons les fanfarons et les ventars qui font usage de la force. Trop souvent nous escusons ceux qui acceptent de bâtir leurs vies sur les rêves brisés d’autres êtres humain. Mais une chose est claire : « La violence engendre la violence. » La répression engendre les représailles. Seul, un assainissement de toute notre société peut éradiquer ce mal de notre âme. Lorsque l’on apprend à un homme à haïr et à redouter son prochain, lorsque l’on lui apprend qu’il est un sous-homme à cause de sa couleur, de ses croyances, de ce qu’il veut accomplir. Lorsqu’on lui apprend que ceux qui sont différents, menacent sa liberté, ou son emploi, sa maison, ou sa famille. On lui apprend aussi à s’opposer aux autres. Pas en tant que citoyen, mais en tant qu’ennemi ! A ne pas coopérer avec eux, mais à les soumettre, à les asservir et à les dominer. Enfin, nous apprenons à considérer nos frères comme des étrangers.
Des étrangers avec lesquels nous partageons une ville, mais pas une communauté, des hommes avec qui nous partageons une demeure, mais pas un projet commun. Nous avons appris à ne partager qu’une peur commune, le seul désir commun de régler les conflits par la force.
Notre vie sur cette planète est trop courte et il y a beaucoup trop à accomplir pour laisser fleurir cet esprit plus longtemps, sur cette terre qui est notre.
Bien sur nul ne peut l’anéantir avec un programme ou une résolution, mais nous pouvons nous pas nous rappeler, même un court moment, que ceux qui vivent à nos côtés sont nos frères, qu’ils partagent avec nous, le même court instant de vie. Qu’ils ne recherchent tout comme nous que la chance de vivre leurs vies avec un but et dans la joie. En y trouvant satisfaction et accomplissement s’ils le peuvent.
Je suis sur que ce lien qui unit nos destinés… Je suis sur que ce lien, ce but commun peut commencer à nous enseigner quelque chose.
Nous devons au moins pouvoir apprendre à regarder ce qui peut nous unir, à nous compatriotes et ainsi commencer à travailler davantage pour penser nos plaies mutuelles et ouvrir notre cœur pour redevenir des frères et des compatriotes […]