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Ségolène Royal continue à accuser sur RTL le 10 07 2008

Ségolène Royal interviewé par Jean-Michel Apathie sur RTL le 10 juillet 2008 persiste et signe sur ses propos fait il y a quelques jours sur France 2 au sujet, entre autre, selon elle du pouvoir et des raisons politique suite à « la mise à sac » de son appartement.

Nicolas Sarkozy – Désormais quand il y a une grève en
France personne ne s’en aperçoit ! Rires dans la foule…

Remontée de Bretelles…

Les langues se délient, Paul Quilès, Patrick de Carolis ne cachent pas ce qu’ils pensent du monarque…

Interview d’Ingrid Betancourt

Son témoignage est très émouvant. Une leçon d’humilité et de courage sur la vie et sur la mort d’une femme extraordinaire qui revient de loin… Sur la foi… Et sur la force de l’Amour…

Objectif 2012 !

“Le problème de l’homme n’est pas la politique mais son inaptitude innée à la conscience. On ne naît pas conscient, on le devient, d’où les politiques !”

La politique est la fonction résultant de notre incapacité à croire que nous avons besoin des autres pour résoudre nos problèmes. Nous avons besoin des autres pour être, non pour devenir. Cette vérité est aussi vieille que l’homme. Elle a toujours existé de part la volonté de chacun d’être quelqu’un en devenir (égo/pouvoir). Si chacun arrivait à résoudre cette équation naturellement, en se donnant le temps, nous comprendrions très vite que ce n’est pas la fonction de “politique” qui nous empêche de nous réaliser dans la société. Mais le pouvoir que l’on y attribut. Ceci va à l’encontre de toute logique. C’est pour cela que nous nous faisons manipuler par des êtres de peu de valeur, alors que si nous étions conscient, jamais de la vie, l’idée nous viendrait d’élire quelqu’un que nous ne connaissons pas, si ce n’est par de beaux discours, et pas qu’à la télé !

À les écouter parler, ils ont tous la solution, ils disent tous la vérité. En pratique, c’est toujours la même chose qui se passe, nous sommes pour ainsi dire et à chaque fois laisés, ou diminués dans nos revendications. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous n’arrivons pas à nous entendre tous ensemble (Les 64 millions de français). Cela crée des divisions et les politiques se servent de cela pour nous imposer ce que nous ne voulons pas ! Ce n’est donc pas eux, lorsque nous y réfléchissons, qui sont responsables de nos malheurs, mais nous mêmes, chacun d’entre nous du fait de nos différences et petits pouvoirs résultant de notre incapacité à nous rassembler dans un but commun. Un rêve d’ensemble pour l’harmonie de chacun. Aussi, nous le peuple tant que nous n’arriverons pas à nous dépasser nous subirons le système. Car celui ci a justement été bâtit du fait de ces mêmes inaptitudes. On aura beau le critiquer, le démonter, chercher à le diviser, nous n’y arriverons pas du fait même de notre propre division en chacun et étant la résultante de nos incohérences intérieures (égo/petits pouvoirs).

La solution : C’est une crise au sein même de la société ! Seule solution pour nous rassembler dans un but commun. Si nous y arrivons une fois, nous y arriverons par la suite à chaque fois. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous serons arrivés à penser en commun au détriment de quelques-uns !

Il n’est donc plus question de diviser pour régner. Mais de s’unir pour être… SOI !

Gandhi et la Marche du Sel !

Le 12 mars 1930, Mohandas Karamchand Gandhi entame une «marche du sel» en vue d’arracher l’indépendance de l’Inde aux Britanniques.

La Non-Violence à l’Oeuvre

Dans les années précédentes, le Mahatma a multiplié les manifestations non-violentes et les grèves de la faim en vue d’obtenir pour l’Empire des Indes un statut d’autonomie analogue à celui dont bénéficient les colonies à population européenne telles que le Canada ou l’Australie.

Faute de résultat, certains membres de son parti, le parti du Congrès, s’impatientent et menacent de déclencher une guerre en faveur de l’indépendance. Gandhi, pour ne pas être débordé, avertit le vice-roi des Indes que sa prochaine campagne de désobéissance civile aura pour objectif l’indépendance. C’est ainsi qu’il quitte son ashram des environs d’Ahmedabad, au nord-ouest du pays, accompagné de quelques dizaines de disciples… et d’une meute de journalistes.

Après un parcours à pied de 300 km, il arrive le 6 avril au bord de l’océan Indien. Il s’avance dans l’eau et recueille dans ses mains un peu de… sel. Par ce geste dérisoire et hautement symbolique, Gandhi encourage ses compatriotes à violer le monopole d’État sur la distribution du sel. Ce monopole oblige tous les consommateurs indiens, y compris les plus pauvres, à payer un impôt sur le sel et leur interdit d’en récolter eux-mêmes. Il est analogue à l’impôt de la gabelle sous l’Ancien Régime, en France. Sources…