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A propos de l’édition Papier – Réflexion de Thierry Crouzet

17 décembre, 2009 (01:59) | Internet | By: lespacearcenciel

A propos de l’édition Papier – Réflexion de Thierry Crouzet…

[…] « C’est plus par rapport au regard des autres que je reste attaché aux livres. Pour encore beaucoup trop de gens, tu n’écris rien d’intéressant si tu n’es pas sur le papier. Tu n’as pas la respectabilité. On ne t’invite pas aux conférences, tu ne participes pas aux débats…

Et si j’écris des essais c’est aussi pour ça. Pour les échanges ici (Sur Internet) mais aussi pour faire des rencontres. Ailleurs, il y a aussi des gens biens. Le monde 1.0 a quelques qualités qu’il ne faudrait pas nier. Nous sommes en transition, pas en rupture. » […]  Citation de Thierry Crouzet vue ici…

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Conjugaison РLe Verbe Proutprouter au Pr̩sent

12 juillet, 2008 (14:41) | Plus... | By: lespacearcenciel

Conjugaison – Le Verbe Proutprouter (Nouveau Verbe)

Petit exercice de conjugaison, prenez vos crayons et vos cahiers et à mon signal commencez la dictée :

Je proutproute,

Tu proutproutes,

Il proutproute,

Nous proutproutons,

Vous proutproutez,

Ils proutproutent.

L’année prochaine, si tout va bien, nous conjuguerons un nouveau verbe : Le Verbe Tibétiser, ah non ils n’existeront plus. Donc le verbe conscientiser (Ah merde celui-là il existe réellement… !)

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Quelques Excellents Textes d’une Amie – A Méditer ;-)

23 mars, 2008 (16:41) | Plus... | By: lespacearcenciel

Quelques Excellents Textes d’une Amie – A Méditer 😉

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L’homme, ce mystère

Quand l’homme a-t-il jamais cessé de penser au combat ? Quand il remue autour de lui toutes les décombres d’ici-bas, il n’a d’âme que pour lever les sinistres ténèbres des armes déterrées ; la souffrance, la guerre, l’épouvante sont son breuvage d’éternel altéré. Sous des linceuls ou des crêpes de Chine, qu’il appelle emblème de la volonté divine, les enfants et les femmes pleurent ; dans sa folie démesurée, l’homme pactise avec la mort cruelle et la peur. Il s’enivre de sang, comme l’ivrogne se soûle dans une vulgaire gargote, sous l’œil rond, effaré de l’ignorante linotte. Le cerveau évaporé comme celui de l’oiseau injustement méprisé, sa paix qui est pour lui une parfaite inconnue, il va à sa tombe ainsi profanée par lui-même, le cœur qui n’a rien semé et l’esprit nu, laissant ses actes immondes au gouffre du néant. Il n’est de pire assassin que l’homme, ce terrible géant. Cent fois vainqueur, mille fois perdant, il n’y a rien à faire, il s’enlise, sans cesse, dans ses mêmes erreurs. Ainsi, d’une main triomphale, il écrit ses précieuses histoires honnies des Cieux, car c’est à sa perte que de l’autre il souscrit.

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