lespacearcenciel.com

lespacearcenciel.com changer de vie grâce à Internet :-)

Le Futur est Ici : Argent Internet

Entries Comments



THOTH Le Maître des Signes et de l’Éternel Retour, la Numérologie Sacrée

7 octobre, 2007 (00:43) | Plus... | By: lespacearcenciel

Jean-Pierre Perraud – Thot – Le Maître des Signes et de l’éternel Retour – La numérologie Sacrée – Dangles Editions

Jean-Pierre Perraud nous révèle comment et pourquoi Thoth fut longtemps un secret étymologique bien gardé. L’Abbé Pierre Guérin du rocher nous apprend que le plus ancien auteur qui ait parlé de Thoth est Platon dans le Philèbe et dans le Phèdre.

Thoth y est représenté comme le dieu du savoir, inventeur des chiffres et des lettres : « Inconnu du vieil égyptien, le mot Thoth trouve son origine dans la bible hébraïque, au 9ème chapitre de la Genèse, lorsque Dieu donne à Noé le signe de l’Alliance, en lui disant expressément « voici le signe », en hébreu Zathot… » Le signe de la première alliance entre le principe de causalité et le genre humain est l’arc-en-ciel. Ce signe constitue le spectre de réfraction de la lumière solaire et traduit visuellement, sur le mode chromatographique, une loi universelle : la loi du septénaire : 1/7 qui allait permettre à l’homme de jeter les bases de l’Alpha-décimal.

Mais Thoth, le Logos solaire, signe de l’Arc de l’alliance et de l’Arche d’Alliance, dépositaire du Savoir fondamental, est en place et a choisi la France et Paris pour son programme universaliste et libérateur. Le mouvement arbore bientôt les origines de son Moyen. Antiquité grecque ou égyptienne dite style Empire, le peuple se voit confier le bonnet de l’ancienne Phrygie. Madame Tallien lance le costume grec.

Le bleu couleur du Père, le blanc préfigurant le jaune de Mithra, le rouge revendique la couleur du Saint-Esprit. Le voile du Temple est tendu officiellement. Le Logos correspondant est affiché dans un ordre irréversible. Les limites du spectre solaire : le rouge et le bleu, avec le blanc au millieu prennent place sur le drapeau républicain. Le prisme révolutionnaire vient de réfracter le drapeau blanc de la monarchie. Deux visions du monde nouveau à venir, farouchement opposées dans leurs buts et leurs réalisations vont alors s’affronter. La cupidité matérailiste de Danton emboîte le pas à la mystique du néant de Robespierre, pendant que l’Eglise est réduite au silence, le vieux rêve gnostique est de retour. (Mon ouvrage du moment, et pour en savoir plus : éditions Dangles)