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Politique – Être de droite ou de gauche à l’aube de 2012 ?

Être de droite ou de gauche en politique à l’aube de 2012 ça n’a aucun sens, ça ne veut plus rien dire. Nous sommes toutes et tous, chaque citoyen, autant de droite que de gauche. La droite symboliquement correspond à l’action, la gauche plus au côté passif. Or chaque individu normalement constitué fonctionnant avec la conscience a besoin d’un temps de réflexion, le mot le plus juste serait de dire une période de méditation, avant de passer à l’action ! La droite correspondant au masculin, la gauche au côté féminin. Ce principe est au-delà des sexes, puisqu’un homme peut avoir une prédominance par essence au féminin (Gauche) et une femme au masculin. (Droite) Mais comme universellement nous englobons ces deux parties en nous-mêmes, vu que la grille énergétique de la terre est en train de changer, de se métamorphoser. En 2012 je pense que nous serons au-delà de la politique de Gauche comme de droite. Je ne parle même pas de l’extrême gauche ou de l’extrême droite ! L’action est dans son origine de nature créative, tandis que l’état de passivité est de nature méditative. Lorsque chacun aura compris et intégré en lui ce principe, cette évidence, le monde franchira un cap évolutif important. Enclenchant de ce fait le mouvement ou « rotation » vers une nouvelle réalité. Ceci marquera la phase de transition tant attendue et annoncée par toutes les traditions à travers la planète depuis des milliers d’années.

Dette de la France – Questions à quelques Hommes Politiques !
A faire suivre sans modération…

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L’Art du Mensonge Politique (Bon à Savoir…)

L‘art du mensonge politique, pamphlet et traité de politique (satirique) écrit en 1733 par John Arbuthnot, attribué à Jonathan Swift. A sa publication, il ne s’agit pas vraiment d’un livre à part entière mais de l’ouverture d’une souscription pour plusieurs volumes à paraître.
Résumé de l’oeuvre :
Le premier volume de l’oeuvre comprend onze chapitres. Dans le premier, l’Auteur ‘raisonne sur la nature de l’âme’. Pour lui, le mensonge vient du fait que l’âme possède non seulement un côté ‘plat’ qui restitue les choses telles qu’elles sont, mais aussi un côté cylindrique, qui déforme les faits. Puis, dans le second chapitre, l’Auteur définit le mensonge en politique comme étant ‘ L’art de convaincre le peuple ‘, l’art de lui faire accroire des faussetés salutaires et cela pour quelque bonne fin. Dans un troisième chapitre, il montre que le mensonge en politique est non seulement permis, mais aussi licite. Dans un quatrième temps, l’Auteur explique que le gouvernement ou le corps politique dans son ensemble n’a pas l’exclusivité du mensonge, puisque le peuple peut aussi l’utiliser pour combattre ses représentants (notamment par l’invention de fausses rumeurs, visant à nuire à la réputation d’un homme politique). Le cinquième chapitre définit une typologie des différents mensonges : le mensonge de calomnie (qui a pour objet la diffamation), le mensonge d’addition (qui a pour but de prêter à un individu des actions bénéfiques dont il n’est pas l’auteur), et enfin, le mensonge de translation (prêter ses actions à un autre que soi). Dans le sixième chapitre, l’Auteur opère une distinction entre deux types de mensonge : le mensonge ‘qui sert à épouvanter’ et ‘celui qui anime et encourage’, puis il précise que les mensonges doivent non seulement faire preuve de vraisemblance, mais aussi variés (il ne faut pas toujours utiliser les mêmes).

L’Argent des Politiques
– A ECOUTER EN URGENCE

– Stéphane Guillon –
La Casserolle Politique de l’année est attribuée à…

Les politiques sont ils des Psychopathes ?

Selon Jim Kouri, vice-président de l’Association Américaine des Commandants de Police, les politiciens partagent certains traits de caractère avec les psychopathes. Jim Kouri se fonde sur les résultats publiés par le Bureau d’Analyse du Comportement du FBI. Le Los Angeles Times a révélé au grand public ces corrélations troublantes.

La psychopathie est un trouble de la personnalité qui consiste à utiliser le charme, la manipulation, l’intimidation — et parfois la violence — pour contrôler et exploiter autrui à des fins personnelles.